Le mensuel Direction de juillet/août 2021 titre sa Une : « la sexualité des usagers, la fin d’un tabou ? ». Ce même numéro donne la parole à Alice Casagrande, présidente de la commission de la lutte contre la maltraitance et la promotion de la bientraitance. Plus conjoncturellement, la crise sanitaire a mis de nombreuses équipes d’établissement sociaux et médico-sociaux face à des questions inédites et pour lesquelles les pratiques courantes des professionnels n’offraient pas de réponse satisfaisante.
Les contraintes réglementaires et les normes en vigueur dans le secteur social et médico-social drainent les établissements vers une même logique : améliorer en continu la qualité des prestations offertes aux bénéficiaires. C’est au cœur de cette dynamique que la notion de traçabilité prend tout son sens, notamment à travers la mémoire des éléments qui concernent directement le patient, son suivi médical, la nature de son accompagnement social. Les dossiers dans lesquels sont consignées par écrits les informations personnelles des bénéficiaires (des patients) sont soumis à des règles précises ; la première d’entre elles étant de regrouper l’ensemble des renseignements dans un unique dossier.
Le problème posé
Directrice d’ITEP, je suis insatisfaite des instances de coordination en place. Les professionnels se plaignent de ne pas trouver le temps d’actualiser annuellement les projets personnalisés avec les usagers ni de réaliser les synthèses pluriprofessionnelles en amont. Trop d’informations ne sont pas transmises ou connues et élaborer les ordres du jour des réunions institutionnelles hebdomadaires devient un exercice de plus en plus difficile.
La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est issue d’une évolution de la fonction « ressources humaine ». Elle s’est progressivement substituée à la traditionnelle « gestion du personnel » aux finalités avant tout administrative et comptable.
Marquée par un taylorisme rationalisant, la gestion du personnel visait la maîtrise des « frais de personnel ».
La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est issue d’une évolution de la fonction « ressources humaine ». Elle s’est progressivement substituée à la traditionnelle « gestion du personnel » aux finalités avant tout administrative et comptable.
Marquée par un taylorisme rationalisant, la gestion du personnel visait la maîtrise des « frais de personnel ».
Le problème posé
Directrice d’ITEP, je suis insatisfaite des instances de coordination en place. Les professionnels se plaignent de ne pas trouver le temps d’actualiser annuellement les projets personnalisés avec les usagers ni de réaliser les synthèses pluriprofessionnelles en amont. Trop d’informations ne sont pas transmises ou connues et élaborer les ordres du jour des réunions institutionnelles hebdomadaires devient un exercice de plus en plus difficile.
Les contraintes réglementaires et les normes en vigueur dans le secteur social et médico-social drainent les établissements vers une même logique : améliorer en continu la qualité des prestations offertes aux bénéficiaires. C’est au cœur de cette dynamique que la notion de traçabilité prend tout son sens, notamment à travers la mémoire des éléments qui concernent directement le patient, son suivi médical, la nature de son accompagnement social. Les dossiers dans lesquels sont consignées par écrits les informations personnelles des bénéficiaires (des patients) sont soumis à des règles précises ; la première d’entre elles étant de regrouper l’ensemble des renseignements dans un unique dossier.
Le mensuel Direction de juillet/août 2021 titre sa Une : « la sexualité des usagers, la fin d’un tabou ? ». Ce même numéro donne la parole à Alice Casagrande, présidente de la commission de la lutte contre la maltraitance et la promotion de la bientraitance. Plus conjoncturellement, la crise sanitaire a mis de nombreuses équipes d’établissement sociaux et médico-sociaux face à des questions inédites et pour lesquelles les pratiques courantes des professionnels n’offraient pas de réponse satisfaisante.
OUTILS POUR RÉUSSIR L'ÉVALUATION EN ACTION SOCIALE
Pour réussir l'évaluation interne de votre établissement ou service social ou médico-social, vous devez maîtriser de nouvelles techniques, qu'il s'agisse d'apprécier l'adéquation des objectifs du projet d'établissement aux besoins des usagers, d'évaluer le degré de conformité des pratiques aux recommandations ...
ENCADRER UNE UNITÉ D'INTERVENTION SOCIALE
Les cadres de proximité des établissements sociaux et médico-sociaux, cadres intermédiaires ou chefs de service voient aujourd’hui leur autonomie s’accroitre suite à la réorganisation en cours du secteur (fusion/absorption, création de pôles, mutualisation des…
BÂTIR UNE GPEC
Les nombreux départs à la retraite programmés et le contexte de réforme de la réglementation du secteur social et médico-social rendent plus que jamais nécessaire une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) pour les dirigeants des 30 000 structures du secteur. Réaliser un diagnostic...
METTRE EN ŒUVRE LA DÉMARCHE RAPT
La démarche « Une réponse accompagnée pour tous » (RAPT) découle de la réforme de la politique du handicap issue des préconisations du rapport Piveteau « Zéro sans solution », l’objectif étant de proposer une réponse individualisée à chaque personne dont la situation le nécessite...
MENER À BIEN SES ENTRETIENS PROFESSIONNELS DANS LE SECTEUR SOCIAL ET MÉDICO-SOCIAL
L’entretien d’évaluation et l’entretien professionnel sont deux outils essentielsdu management des ressources humaines. Si le premier est facultatif, le second, introduit en 2014 et réformé par la loi Avenir...